D11050

FUJIMI

Fujimi 600499 IJN Cuirassé Rapide Kongo Échelle 1/350

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Cuirassé rapide IJN Kongo, échelle 1/350, Fujimi 600499. L'ensemble comprend : des conduits d'admission en plastique avec pièces pour maquette, une planche de décalcomanies, des pièces de détail en photodécoupe, une notice de montage avec schémas de peinture et marquages. Peinture et colle non incluses. Livraison non disponible aux îles Canaries.

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Le porte-avions Akagi, édition limitée Hasegawa 1:350, Bataille de Midway. L'Akagi était un porte-avions japonais dont la quille fut posée en 1920, lancé en novembre 1925 et mis en service dans la Marine impériale japonaise en mars 1927. Le navire mesurait 260,7 m de long, 31,3 m de large et avait un déplacement total de 41 300 tonnes. Sa vitesse maximale était d'environ 30 à 31 nœuds, et son armement principal comprenait 91 avions. À l'origine, l'Akagi, comme un autre porte-avions japonais, le Kaga, était construit comme un paquebot dans le cadre du programme d'expansion de la flotte « 8+8 », mais en raison des engagements internationaux du gouvernement de Tokyo, les travaux furent interrompus et la coque fut mise à la ferraille. Finalement, il fut décidé de construire un porte-avions sur la coque en grande partie achevée, ce qui fut effectivement le cas. À sa mise en service, l'Akagi possédait trois ponts d'envol, mais avec le développement de la technologie aéronautique, il fut décidé de le reconstruire entièrement, ce qui eut lieu entre 1935 et 1938. La forme de la coque fut alors radicalement modifiée, ne conservant qu'un seul pont d'envol. Pendant la Seconde Guerre mondiale, l'Akagi participa à l'attaque de Pearl Harbor en décembre 1941 et combattit dans l'archipel Bismarck début 1942, soutenant le débarquement de Rabaul. En avril de la même année, il participa également au célèbre rassemblement de la flotte japonaise dans l'océan Indien. Il participa également à la bataille de Midway (juin 1942), où il fut coulé par des avions américains.
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Le Varyag était un croiseur cuirassé et croiseur ponté russe. Sa quille fut posée en 1899 au chantier naval William Cramp de Philadelphie, lancé en octobre de la même année et mis en service dans la marine russe en 1901. Le navire mesurait 129,6 m de long, 15,9 m de large et son déplacement total était d'environ 7 000 tonnes. Sa vitesse maximale était de 23 nœuds. Son armement principal était composé de douze canons de 152 mm et son armement secondaire de douze canons de 76 mm ou de six tubes lance-torpilles de 381 mm, entre autres. Le Varyag était l'un des trois croiseurs commandés par le gouvernement tsariste à des chantiers navals étrangers pour servir en Extrême-Orient peu avant le déclenchement de la guerre russo-japonaise (1904-1905). Il s'avéra un navire performant : il avait une bonne vitesse de pointe, bien qu'il fût théoriquement plus lent que son jumeau, l'Askold. Il était également bien blindé et possédait une bonne navigabilité. Comparé à l'Askold, il offrait de bien meilleures conditions de vie à son équipage. Cependant, son artillerie était moins bien placée. En 1902, le Varyag rejoignit l'escadre russe du Pacifique. Pendant la guerre russo-japonaise (1904-1905), il livra une bataille héroïque près de la ville coréenne de Czemulpo, devenant une légende de la flotte russe. Au cours de la bataille, il fut sabordé par son équipage. Cependant, les Japonais réussirent à renflouer le navire en août 1905 et l'incorporèrent à leur marine sous le nom de Soya. Il est intéressant de noter qu'en 1916, le Japon vendit le croiseur à la Russie tsariste, mais en raison de son mauvais état technique, il ne fut jamais mis en service ni ne participa activement aux opérations de combat, et fut démoli en 1925. Nous ne livrons pas aux îles Canaries.